Néo CHAPUIS

L’alternance, ça vous parle ?

L’alternance, c’est un mix entre école et boulot. Tu bosses dans une entreprise (et tu es payé, un peu) tout en suivant des cours (et tu ne paies souvent rien). Idéal pour apprendre un métier sur le terrain tout en décrochant un diplôme. Bref, c’est un pied dans la vie pro, l’autre dans les études.

C’est la formule choisie par Néo CHAPUIS, embauché comme alternant au sein de Territoire d’énergie depuis le 1er septembre dernier.  Après avoir obtenu un BTS électrotechnique, Néo est cette année inscrit à l’Université Grenoble Alpes où il prépare une licence professionnelle métiers de l’électricité et de l’énergie, parcours distribution électrique et automatismes. Mais, c’est fait pour nous, ça ? !

S’il est rattaché au service électrification rurale, avec Raphaël DUCRUIX pour référent, il va, pendant 1 an, également s’immerger dans les autres services techniques, énergie et éclairage public, compte-tenu de la complémentarité de nos métiers.

Néo, pourquoi as-tu choisi la licence pro ?

A la fois pour ne pas arrêter mes études au BTS, car l’électricité, l’énergie et l’environnement, c’est ce qui m’intéresse, et parce que la licence ce n’est qu’un an d’études supplémentaires.

Comment as-tu découvert Territoire d’énergie ?

A vrai dire, durant mon BTS je n’avais jamais entendu parler des syndicats d’énergie et j’ai découvert récemment qu’il y en a un dans chaque département ! Quand en BTS on parle d’électricité, on cite EDF ou Enedis, pas les syndicats d’énergie. C’est mon grand-père, maire d’une commune d’Ardèche, qui m’a mis sur la piste, car lui, connaît le rôle des syndicats d’énergie.

Ton quotidien en quelques mots ?

Par définition, j’alterne entre l’école à Grenoble et le boulot, ici à Privas, à raison d’1 mois/1 mois.

Honnêtement, les débuts ont été un peu compliqués mais cela va mieux. Je découvre petit à petit le métier de chargé d’affaires, comment établir un APS (avant-projet sommaire), vérifier les études, estimer le coût d’un chantier, contrôler les travaux, la réception d’un chantier…

Et comme je n’habite pas sur place, je me déplace entre moto et covoiturage. Et transport en commun pour aller à Grenoble. La galère des étudiants ardéchois !

Et après ?

J’espère rentrer dans le monde du travail à 100%. Mon souhait : un poste de chargé d’études, plutôt dans le secteur privé.